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*En août dernier, c’est avec trois autres femmes – Maryse Paquette, Pascale Vézina (ambassadrices des*[*Chèvres de montagne*](http://www.leschevresdemontagne.com/)*) et la chanteuse de gorge inuite Charlotte Qamaniq – que j’ai entrepris le [projet de documentaire Qamanic](https://www.qamaniq.com/), soit le défi aussi physique qu’humain de fouler au pas de course le territoire du parc national Kuururjuaq pour aller à la rencontre de femmes qui habitent ces terres éloignées.*

Qamaniq*, « là où la rivière s’élargit » en inuktitut, c’était quelque 100 km parcourus pendant cinq jours, en autonomie complète. C’est aussi là où, comme la rivière, nos horizons se sont élargis. Surveillez la sortie de mon documentaire en décembre pour élargir les vôtres. En attendant, voici un bref récit de notre aventure.*



J’ai pris conscience de l’ampleur de l’expédition qui allait se dérouler durant les cinq prochains jours assez soudainement, dans l’eau jusqu’à la taille dans la longue et sinueuse rivière Koroc, notre point de départ. À la frontière entre le Québec et le Labrador, le parc national Kuururjuaq s’étend de la baie d’Ungava jusqu’au sommet du mont D’Iberville, dans la chaîne de montagnes Torngat. Parcouru depuis des millénaires par les Inuits de la région, ce lieu m’a toujours particulièrement attiré, d’autant plus qu’il est l’objet de nombreuses légendes; *Torngat* (*Tongait* en inuktitut) signifie d’ailleurs « la place des esprits ».



Le petit Twin Otter allait nous larguer sur la piste de terre en bordure de la rivière dont la source remonte à un glacier provenant des pentes enneigées du mont Caubvick, le point le plus haut du Québec et de Terre-Neuve-et-Labrador. Malgré la mauvaise visibilité, les vents cinglants et les nimbostratus prisonniers des sommets avoisinants, il a été possible d’atterrir en fin d’après-midi.



J’ai rencontré mon équipe quelques heures plus tôt à Kangiqsualujjuaq, le village le plus à l’est du Nunavik qui se trouve à 25 km de la baie d’Ungava. C’est un endroit reculé où les mouvements des marées se font sentir. À quelques pas de là, se trouve le lieu de mise bas du plus grand troupeau d’ongulés du monde estimé à plusieurs centaines de milliers de têtes.



Quelques mois plus tôt, Maryse et Pascale – deux fonceuses pleines d’ambition – se sont jointes à moi pour former une partie de l’équipe. Nous avions déjà communiqué ensemble quelques fois par Skype, mais c’était la première que nous nous retrouvions ensemble physiquement sur cet immense territoire.



Quant à Charlotte Qamaniq, une Inuite provenant d’Igloolik au Nunavut, elle avait décidé de se joindre à nous plus tard. Chanteuse de gorge de 31 ans et mère de deux enfants, elle a rapidement accepté de nous accompagner et de courir avec nous tout au long du projet pour se mettre à l’épreuve et reconnecter avec le territoire de ses ancêtres, qui ont traversé le parc des centaines d’années plus tôt en suivant les hordes de caribous. Elle souhaitait poser un regard sur le lien entre le dépassement de soi dans le cadre de ce défi et la douleur vécue par son peuple depuis que les hommes blancs ont envahi le territoire. De plus, Florence Pelletier (réalisatrice avec qui j’avais collaboré par le passé) allait aussi nous accompagner pour m’aider à capter le bon filon de cette histoire.



Dans l’avion, nous nous affairions aux derniers préparatifs en vue du grand départ : remplir les contenants de gaz à réchaud, passer en revue l’itinéraire de course, répartir les derniers sachets de nourriture lyophilisée dans nos cinq sacs, bricoler nos colliers de survie avec briquets et sifflets de sécurité, effectuer quelques appels d’essai avec le téléphone satellite…



Quarante minutes plus tard, nous arrivions sur le terrain. Le débarquement s’est fait rapidement, la température fraîche et brumeuse nous empêchant de nous attarder. Le tout était filmé puisque le but de l’expédition était de documenter la rencontre de deux cultures dans un environnement qui diffère totalement de ce à quoi nous étions habituées. Endossant les rôles de *camerawoman* et d’organisatrice de l’expédition, je me rendais compte de tout le boulot qui m’attendait les prochains jours. Les lentilles de mes caméras étaient déjà embuées à cause de l’humidité, le stabilisateur de la caméra Ronin-M fonctionnait par intermittence… Et nous n’étions toujours pas en route. À 17 h 20, nous étions enfin prêtes. Il fallait partir.



En pénétrant dans le courant de la rivière, je me suis aussitôt interrogée sur les raisons qui m’avaient poussée à faire un documentaire sur cette expédition. Est-ce que j’allais être assez forte pour assumer les responsabilités de mes rôles ? Étais-je assez bien préparée ? J’ai relégué aux oubliettes ces doutes inutiles pour me concentrer sur l’action qui se déroulait devant moi. Les filles s’étaient dévêtues pour entrer dans l’eau glaciale. Leurs réactions lors de cette première épreuve de la journée étaient positives malgré les conditions difficiles. Cette situation d’adversité venait tout juste de resserrer les liens de notre équipe nouvellement formée. Après quelques heures de course et de marche sur un terrain marécageux, notre premier repas ensemble sous la lumière de nos lampes frontales était des plus réconfortants.



C’est à ce moment-là que Charlotte nous a raconté la légende de Sedna, déesse inuite tapie dans les profondeurs de la mer et grande protectrice de la nature. Quand quelqu’un transgresse ses règles, elle se met en colère. L’harmonie, qui règne habituellement dans le monde des Inuits, est alors rompue. Comme punition, Sedna retient les créatures marines loin des chasseurs, les privant ainsi de nourriture. La seule façon de rétablir l’harmonie est entre les mains du chaman. Il doit plonger jusqu’au fond de la mer pour retrouver Sedna et lui expliquer les difficultés que connaît son peuple. Pour obtenir ses faveurs, il doit brosser sa chevelure emmêlée. Une fois satisfaite, Sedna libère le gibier et rétablit les bons rapports entre les Inuits et leur monde, mais les chasseurs doivent se souvenir de respecter tous les êtres vivants s’ils souhaitent maintenir l’harmonie.



En allant chercher l’eau pour remplir nos gourdes, j’ai regardé le vaste ciel et remercié Sedna de m’avoir permis d’être à cet endroit et de vivre cette fantastique aventure avec des femmes aussi inspirantes.



Les défis quotidiens des jours suivants m’ont grandement appris à repousser mes limites et à vivre au gré de circonstances que je ne contrôle pas. Certains me demandent si j’ai réussi à capter du bon matériel vidéo ou si nous avons réussi à parcourir la distance fixée au départ. Je leur réponds par l’affirmative. Toutefois, ma plus grande réalisation ne se trouve pas là, mais plutôt dans les apprentissages que nous avons faits durant l’expédition.



Sur le chemin du retour, nous avons pris le temps d’admirer les magnifiques herbes à coton, dont la soie commençait à se répandre dans le vent de la fin août. Nous repensions à l’aventure tout juste vécue, à cette nouvelle amitié formidable, sans limites, plus forte que le roc des montagnes traversées par nos pas et qui n’a pas besoin de mots pour être exprimée.



La cinéaste d’aventure Caroline Côté nous raconte les faits saillants du tournage de son dernier documentaire dans le parc national Kuurujjuaq. Lisez son récit, voyez ses images.

Qamaniq, la grande aventure | Blogue MEC

Qamaniq, la grande aventure

Je dois l’avouer : j’apporte toujours trop de choses avec moi en voyage. C’est chronique. Enfin, ce l’était. Il m’est arrivé trop souvent de compresser la moitié de ma garde-robe dans une énorme valise à roulettes, simplement parce que j’étais trop paresseuse pour réfléchir à ce dont j’avais vraiment besoin, ou je ne consultais tout simplement pas de listes de choses à apporter avant de partir.

Comme je n’ai aucun plaisir à trimballer un sac de 40 lb, je me suis décidée à consulter Internet pour trouver de meilleures façons de faire. Et mes recherches m’ont fait découvrir le concept de garde-robe de voyage capsule. Il s’agit d’une approche minimaliste pour vous constituer une garde-robe de voyage, en apportant seulement les morceaux dont vous avez besoin pour à peu près n’importe quelle situation. Je me suis vite rendu compte que l’une des choses les plus satisfaisantes et libératrices au monde est de voyager avec un seul sac.

J’ai donc regroupé six conseils pour vous aider à vous constituer votre propre garde-robe de voyage capsule, ainsi que des listes d’articles à apporter. L’une a été dressée par moi, l’autre par James Brittain, designer chez MEC et globe-trotter chevronné, afin de vous donner une idée de ce que nous apportons dans nos bagages.



## Six principes pour élaborer une garde-robe capsule
##### Conseil no 1 : Pensez d’abord à vos activités.
Si, durant votre voyage, vous faites de la randonnée ou de la course à pied ou que vous prenez part à un événement spécial, commencez votre liste à partir de ces éléments, et bonifiez-la par la suite, au besoin. Par exemple, commencez par un pantalon pour la randonnée, un collant pour la course ou une robe de soirée infroissable, et créez-vous des ensembles à partir de ces éléments.

##### Conseil no 2 : Optez pour la polyvalence, une solution gagnante.
Sélectionnez des articles assez polyvalents pour les porter plusieurs fois et dans des contextes variés. Par exemple, un pantalon extensible et respirant est parfait pour courir, de même que pour passer de longues périodes de temps assis en voiture ou en avion. Si vous apportez un vêtement un peu plus chic, assurez-vous de pouvoir le porter également avec des chaussures décontractées (ou par-dessus un collant, s’il s’agit d’une robe). Apportez un sac fourre-tout pour transporter vos choses durant la journée et, à la fin du voyage, utilisez-le pour y mettre vos vêtements à laver.

##### Conseil no 3 : Choisissez une palette de couleurs.
Privilégiez les couleurs neutres ayant chacune une ou deux couleurs d’accompagnement. Ma garde-robe comprend beaucoup de blanc, de gris, de noir, de marine, et de quelques morceaux rouges ou jaunes. La plupart de ces couleurs vont bien ensemble. Donc, si mes options de vêtements propres sont limitées, j’ai quand même de bonnes chances de me faire un ensemble présentable.



##### Conseil no 4 : Limitez le nombre de bottes et chaussures.
Les bottes et chaussures sont parfois lourdes et se glissent plutôt mal dans une valise. Essayez de vous limiter à deux paires. La première paire doit être avant tout pratique (comme des chaussures de course ou de randonnée) afin de la porter pour aller en randonnée ou visiter la ville. Optez pour une couleur neutre et un modèle offrant un bon soutien.

La deuxième paire doit être un peu plus chic afin de la porter pour sortir le soir. Idéalement, choisissez des chaussures qui vont bien avec un pantalon propre, une robe ou un jeans. Selon la température, vous pouvez également laisser tomber les bottes au profit de sandales ou de chaussures de marche. J’aime bien ce modèle de [sandales imperméables de Birkenstock](/fr/product/5057-826/Sandales-Gizeh).

##### Conseil no 5 : Préparez votre valise de façon réfléchie.
Quelques éléments à garder à l’esprit :

- Roulez vos vêtements au lieu de les plier. Vous risquerez moins de les froisser et ils prendront moins d’espace.
- Placez des petits articles, comme des chaussettes ou des sous-vêtements, dans votre casquette ou votre chapeau afin de ne pas les déformer.
- Rangez tous les articles auxquels vous voudrez avoir accès rapidement dans votre sac à dos que vous glisserez sous le siège en avion, en train ou dans tout autre véhicule. Des choses comme votre portefeuille, votre téléphone, des écouteurs, un livre, un paquet de gomme, des collations, de l’eau, un foulard, un chandail, un crayon, des lunettes de vue ou de soleil, etc.

##### Conseil no 6 : Partez uniquement avec un bagage de cabine.
Quand je prends l’avion, mon système habituel est d’avoir un petit sac à roulettes – assez petit pour satisfaire aux exigences des bagages de cabine – que je place dans le compartiment de rangement supérieur, en plus d’un petit sac à dos ou fourre-tout que je glisse sous le siège devant moi. Cela me donne assez d’espace pour apporter tout ce dont j’ai besoin, sans avoir à enregistrer de bagages.

J’utilise le [sac à roulettes Fast Track](/en/product/5058-226/Fast-Track-Rolling-40L-Carry-On) depuis quelques années déjà, sans aucun regret. Il est conçu pour entrer dans pratiquement n’importe quel compartiment de rangement supérieur. Comme petit sac à dos, j’y vais généralement avec un modèle minimaliste, comme le [sac à dos Intercity](/fr/product/5041-223/Sac-%C3%A0-dos-Intercity). Il est suffisamment rembourré pour être confortable, il peut accueillir mon ordinateur portable et il s’adapte à tous les contextes, ou presque. Lorsqu’il voyage léger, James prend son [sac de voyage Outpost](/fr/product/5036-093/Sac-de-voyage-Outpost), qui est assez petit pour servir de bagage de cabine.

## Les choix de Missy : garde-robe de voyage CAPSULE pour femmes


1. **Manteau imperméable :** Je recherche un modèle coupe-vent et imperméable, à la coupe la moins profilée possible. L’[imperméable Nola](/fr/product/5045-418/Manteau-imperm%C3%A9able-Nola) convient tout à fait aux soupers plus chics, en plus de se porter très bien par-dessus une camisole et un collant.

2. **Veste chaude :** J’aime bien avoir un vêtement chaud comme la [cardigan Teslin](/fr/product/5050-509/Cardigan-Teslin) dans mon sac fourre-tout au cas où la température chute ou si je me trouve à un endroit où le système de climatisation est hyperactif.

3. ** Veste en duvet :** Portez-la par-dessus votre t-shirt rayé ou sous votre manteau de pluie. La [veste Tremblant Lite](/fr/product/5047-764/Veste-en-duvet-Tremblant-Lite) se compresse dans sa propre poche de poitrine. Ainsi pliée, elle prend moins de place qu’une paire de chaussures. De plus, la surface extérieure et la doublure ont été tissées ensemble pour que le duvet ne s’échappe pas.

4. **T-shirt :** Vous pouvez le porter sous un chandail de laine, avec une jupe, un jean ou un pantalon d’entraînement. Ce [t-shirt rayé en coton biologique](/fr/product/5027-822/Chandail-en-coton-biologique) certifié équitable $ ? Un choix évident.

5. **Vêtement de vie active :** Pour une transition facile entre le gym et le 5 à 7, optez pour un [haut sans manches](/fr/product/5056-953/Camisole-Core-Train) fait d’une étoffe en filet respirante dotée d’un traitement antimicrobien pour prévenir les mauvaises odeurs.

6. **Fourre-tout ou petit sac à dos :** Parce que je ne veux pas traîner ma valise à roulettes, j’utilise un sac qui ressemble au [fourre-tout Travel Light](/fr/product/5054-170/Sac-fourre-tout-Travel-Light) pour transporter mes essentiels comme de l’eau, mon appareil-photo, mon téléphone et mon chargeur quand j’explore une ville. En prime, ce fourre-tout est doté de sangles ajustables et se replie dans sa poche intérieure.

7. **Denim foncé :** Coupe seyante, étoffe ne laissant pas (trop) paraître les taches, style convenant aux contextes chics ou décontractés, tout [jeans foncé](/fr/sexe/femmes/produits/vetements/vetements-pour-le-bas/pantalons-et-collants/jeans/c/274) est un excellent choix.

8. **Pantalon pour la vie active :** Je vis une histoire d’amour avec le [pantalon Timeless](/fr/product/5057-108/Pantalon-Timeless) (à tel point que j’ai écrit un [article de blogue complet](/fr/article/the-ultimate-travel-pants) à son sujet.)

9. **Collant :** Parfait pour les longs vols ou pour les activités intenses et se portant bien sous une jupe par temps frais, le [collant taille haute Sculpt](/fr/product/5056-969/Collant-taille-haute-Sculpt) est un incontournable pour moi.

10. **Robe :** Parce que c’est bien d’avoir une belle robe lorsque vous sortez ou que vous allez voir un concert. Apportez une [robe toute simple](/fr/produits/vetements/robes-et-jupes/robes/c/1032), idéalement dotée de poches et infroissable.

11. **Maillot de bain :** Un élément essentiel s’il y a une piscine à votre hôtel ou des lacs invitants le long des sentiers de randonnée. Le [maillot Lahari](/fr/product/5045-250/Maillot-de-bain-Lahari) est mon choix en fait de modèle classique.

12. **Foulard :** Portez-le comme un foulard ordinaire ou comme un châle, ou servez-vous-en comme couverture en avion. J’opte généralement pour un [modèle légèrement coloré](/fr/produits/vetements/accessoires/cache-cous-et-foulards/foulards/c/698) afin de le faire ressortir par rapport aux tons neutres de mes vêtements.

13. **Sac à dos :** J’aime la couleur neutre du [sac à dos Intercity](/fr/product/5041-223/Sac-%C3%A0-dos-Intercity), sans compter qu’il peut contenir mon ordinateur portable.

14. **Bottes :** Apportez des bottes à la fois chics et confortables. (Les [bottes Blundstone](/fr/marque/blundstone/produits/bottes-et-chaussures/bottes/c/1189) risquent de monopoliser un peu plus d’espace dans votre valise, mais elles sont super confortables lorsque vous devez passer des heures debout.) Elles se portent bien avec une robe, un collant ou un jeans.

15. **Chaussures de course ou de randonnée :** Un modèle comme les [chaussures de course sur route free de Nike](/fr/product/5056-500/Chaussures-de-course-sur-route-Free-RN) afin que vous puissiez ajouter des activités physiques durant votre voyage. La course à pied est un excellent moyen de visiter une ville lorsque vous n’y êtes pas longtemps.

16. **Tuque :** J’apporte toujours [une tuque](/en/products/clothing/clothing-accessories/headwear/toques/c/1000) en voyage. C’est un accessoire léger qui dompte une coiffure rebelle en deux secondes.

17. **Chapeau de type Fedora :** OK, vous n’êtes peut-être pas convaincu de la pertinence d’apporter un chapeau Fedora en voyage. Mais ce [chapeau Wallaroo](/fr/product/5043-145/Chapeau-Victoria) me donne instantanément l’impression d’être plus présentable, particulièrement lorsque je n’ai pas eu le temps de me faire sécher les cheveux (un peu d’humidité et je deviens toute frisée). Je préfère consacrer mon temps à explorer une nouvelle ville plutôt qu’à me sécher les cheveux. En fait, il est si bien pour le voyage que le fabricant a produit une vidéo pour montrer comment le ranger dans une valise sans lui faire perdre sa forme.

18. **Lunettes de soleil :** Choisissez une paire de [lunettes de soleil](/fr/produits/voyage-et-tous-les-jours/lunettes-de-soleil/c/1171) qui peuvent vous servir de miroir compact pour vérifier que vous n’avez pas de petits morceaux de nourriture coincés dans les dents ou vous arranger les cheveux.



Wallaroo Hat Company - Taco It

## Les choix de James : garde-robe de voyage CAPSULE pour hommes


1. **Manteau en duvet compressible :** Un [tel manteau](/fr/sexe/hommes/caract%C3%A9ristiques/se-range-dans-sa-poche/produits/vetements/manteaux/manteauxisolants/manteaux-de-duvet/c/1022) peut vous sauver durant un voyage. J’ai souvent froid en avion; je le porte donc souvent pour faire une sieste lorsque la climatisation fonctionne.

2. **Manteau coquille imperméable :** Le [manteau Hydrofoil](/fr/product/5053-432/Manteau-extensible-Hydrofoil) ne prend pas beaucoup d’espace dans un sac et j’ai l’habitude de toujours apporter un manteau coquille avec moi. C’est toujours utile pour me protéger contre la pluie ou le vent.

3. **Chandail pour le multicouche :** J’ai toujours le [chandail Synchilla](/fr/product/5047-290/Chandail-l%C3%A9ger-Synchilla) à portée de main en soirée et je l’enfile lorsque la température baisse. De plus, il est parfait pour une petite randonnée ou le camping.

4. **Chemise à carreaux décontractée :** C’est un peu comme si j’avais un petit bout du Canada avec moi partout où je vais. Et un [chemise à carreaux décontractée](/fr/sexe/hommes/produits/vetements/chemises-et-hauts/chemises-et-polos/c/1050) s’agit d’une couche intermédiaire parfaite l’automne.

5.** T-shirt :**Ce [t-shirt simple à col rond](/fr/product/5058-141/T-shirt-Classic), fait de coton biologique, est super doux. J’aime le porter avec un pantalon et avec une casquette. C’est mon ensemble passe-partout.

6.** Maillot d’entraînement :**J’aime bien faire un peu d’exercice physique lorsque je débute ma journée en voyage. Je fais de la course à pied et ce [maillot haute performance](/fr/product/5033-444/Maillot-%C3%A0-col-rond-T1) est parfait pour le gym.

7. **Pantalon décontracté :** J’apporte une [paire de pantalons](/fr/sexe/hommes/produits/vetements/vetements-pour-le-bas/pantalons-et-collants/pantalons/c/1009) pour mes escapades urbaines. Je peux aussi rouler le bas des jambes et enfiler mes chaussures de marche pour aller me promener par un petit matin d’automne frisquet.

8. **Pantalon d’entraînement :** Si pratique pour les longs vols, les séances de course matinales et les moments de détente à l’hôtel. J’adore le [pantalon Gravity](/fr/product/5040-079/Pantalon-Gravity).

9. **Short d’entraînement :** Une paire de [shorts d’entraînement](/fr/sexe/hommes/produits/course-et-entrainement/vetements/shorts-collants-et-pantalons/shorts-de-course-et-dentrainement/c/1665) est non seulement parfait pour le gym et la course, mais vous pouvez également les utiliser comme maillot de bain à la rigueur (surtout si vous vous en procurez une paire qui sèche rapidement).

10. **Sac à dos léger :** J’ajoute toujours le [sac de promenade Travel Light](/fr/product/5054-164/Sac-de-jour-de-16-litres-Travel-Light) dans mon sac à roulettes pour les sorties d’une journée. Cela me donne aussi un peu plus d’espace de rangement pour le retour à la maison. (J’aime bien les couleurs voyantes qui ajoutent de l’éclat au ton neutre de mes vêtements !)

11. **Tuque :** Une [tuque souple](/fr/produits/vetements/accessoires/chapeaux/tuques/c/1000) est parfaite pour ajouter un peu de chaleur en toutes situations, ou pour vous couper du monde extérieur durant un vol.

12. **Casquette pour les cheveux ébouriffés :** Pour les petits déjeuners pris très tôt, pour les conversations qui s’étirent en soirée et pour toute situation entre les deux extrêmes. Une [casquette](/fr/produits/vetements/accessoires/chapeaux/casquettes/c/997) est un autre incontournable de ma tenue de voyage.

13.******Chaussures de course :**Les [chaussures de course sur Route Free FN de Nike](/fr/product/5056-499/Chaussures-de-course-sur-route-Free-RN) sont si petites que vous trouverez assurément de l’espace pour elles dans votre valise. Je cours toujours – toujours.

14. **Lunettes de soleil :** Trouvez des [lunettes de soleil](/fr/sexe/hommes/produits/voyage-et-tous-les-jours/lunettes-de-soleil/c/1171) qui ont du style, mais qui ne vont pas vous ruiner non plus. Assurez-vous de pouvoir les glisser dans un sac à dos sans trop vous en soucier.

15. **Sac étanche léger :** J’apporte le [sac étanche Nano de 5 l](/fr/product/5030-654/Sac-%C3%A9tanche-Nano-3D) pour transporter un maillot de bain humide, puis pour les excursions d’une journée où le temps s’annonce pluvieux. De cette façon, je peux garder mes articles de valeur bien au sec dans mon petit sac à dos.

16. **Pochettes cubiques :** Les cubes. L’avenir. J’utilise une [pochette cubique](/fr/product/5054-177/Pochettes-Travel-Light-format-vari%C3%A9-%28paquet-de-3%29) pour les câbles de mes appareils électroniques. Une autre pour mes vêtements d’entraînement humides. Une pour le lavage… c’est sans fin. Ma valise est organisée comme un jeu de Tetris et c’est parfait ainsi.

17. **Sac à dos**: Le [sac de voyage Outpost de MEC](/fr/product/5036-093/Sac-de-voyage-Outpost) est de la taille parfaite pour y ranger toutes vos affaires. De plus, il a des tonnes de poches, des poignées robustes et des glissières qui descendent jusqu’en bas du sac, ce qui vous permet de trouver ce que vous cherchez facilement. (J’adore aussi sa couleur voyante; ça crée un beau contraste avec ce que je porte !)

## Autres articles de voyage intéressants
Quelques petits articles peuvent encore plus vous faciliter la vie en voyage. Vous avez réussi à vous constituer une garde-robe capsule ? Voici quelques articles supplémentaires qui pourraient vous être utiles :



### Serviette de voyage

La [serviette PackTowl](/fr/product/5024-431/Serviette-Packtowl-Personal) est sans contredit la serviette de voyage la plus populaire en raison de son format compact et de son étoffe séchant rapidement.



### Tasses de voyage

Apportez votre propre tasse ; vous vous sentirez alors comme à la maison. De plus, ça fait quelques tasses en carton de moins dans les poubelles. Cette [bouteille isolante prévenant les éclaboussures](/fr/product/5030-004/Bouteille-Direct-Drink-de-350-ml) garde vos breuvages chauds durant des heures, tandis que cette [tasse en acier inoxydable](/fr/product/5063-190/Tasse-de-camping-en-acier-inoxydable-Glacier) vous donne l’impression de boire dans l’une de vos tasses à la maison.



### Bouteille d’eau

Acheter de l’eau embouteillée ? Oubliez ça. Apportez votre bouteille et remplissez-la à un robinet. C’est moins cher et plus écologique. Cette [bouteille de Kleen Kanteen](/fr/product/5058-053/Bouteille-Classic-en-acier-inoxydable-800-ml) se range aisément dans les poches latérales de la plupart des sacs à dos, et la [bouteille SoftBottle](/fr/product/5036-530/Bouteille-Element) se roule lorsqu’elle est vide.



### Chargeur

Vous voyagez avec votre téléphone, votre appareil photo et votre tablette électronique pour lire ? Le [chargeur Flip 20 de Goal Zero](/fr/product/5043-189/Chargeur-Flip-20) peut réalimenter vos petits appareils électroniques quelques fois.



*Vous croyez que nous avons oublié d’autres articles essentiels à une garde-robe de voyage ? Dites-le-nous sur notre*[page Facebook MEC](https://www.facebook.com/mec)*. Trouvez votre prochaine aventure au moyen de notre guide d’activités extérieures, sur le site*[*onserejointdehors.ca*](https://gto.mec.ca/fr/quebec?utm_source=onserejointdehors.ca&utm_medium=redirect)*.*



## Articles connexes
- [Liste de vérification pour le voyage](/fr/explore/travel-checklist)
- [16 conseils de voyage : écoutez nos voyageurs canadiens](/fr/article/16-rad-travel-hacks-from-adventurous-canadians)
- [Choisir un sac à dos à votre mesure](/fr/explore/choose-and-fit-a-backpack)







Voyager avec un seul sac est l’une des choses les plus satisfaisantes et libératrices au monde. Voici nos conseils pour le faire.

Que devrait comprendre votre garde-robe capsule de voyage ? | Blogue de MEC

Que devrait comprendre votre garde-robe de voyage capsule ?

S’entraîner dehors, c’est plutôt amusant, non ? Et théoriquement, c’est encore l’été jusqu’au 22 septembre. Pour conclure la saison du *barbec*, MEC vous présente une belle brochette de défis physiques à relever prochainement pour que vous finissiez l’été en beauté, en plein air et en forme !

#### Course sur sentier


Contrairement à la course sur route, la course sur sentier pose des défis différents : terrains inégaux, types de sol variés, divers obstacles (roches, racines, boue…) et plus de pentes selon les sentiers choisis. Votre concentration est donc beaucoup plus sollicitée que sur le bitume. Au [parc national du Mont-Tremblant](https://www.sepaq.com/pq/mot/index.dot) vous trouverez plus de 85 km de beaux sentiers forestiers. Dans le secteur de la Diable, mentionnons les sentiers du Lac-des-Femmes, la Roche, Coulée, Corniche, la Bois-Franc, de même que la boucle des Chutes-Croches. Dans le secteur de la Pimbina, les sentiers de la Chutes-aux-Rats et de l’Envol et la boucle du Lac-de-L’Assomption et, dans le secteur de L’Assomption, le sentier Les Grandes-Vallées sont dignes d’un entraînement épique en plein air.



Vous hésitez entre la rando et l’escalade pour votre défi ? Pourquoi choisir quand vous pouvez faire de la [via ferrata](https://www.sepaq.com/quoi-faire/via-ferrata.dot), ce sport hybride sur paroi rocheuse ? Le [parc national du Fjord-du-Saguenay](https://www.sepaq.com/pq/sag/#Itemdafdb4f2-4e05-4b30-9749-572831334716) propose trois parcours (débutant, intermédiaire et avancé) qui constituent de bons défis sportifs d’une durée de 3 h 30 à 6 h 30. Évidemment, vous serez subjugué par les vues saisissantes sur la baie durant votre ascension. Si vous avez la piqûre par après, c’est que vous êtes peut-être mûr pour attaquer l’escalade. Si c’est le cas, nous vous recommandons de lire les…



Si vous avez quelques jours devant vous, pourquoi ne pas vous adonner à une aventure de rando-camping au [parc national d’Aiguebelle](https://www.sepaq.com/pq/aig/index.dot#Itemc8d144f8-8a58-4ebd-a52a-80ad767e9e07), où vous pourrez notamment faire l’ascension du plus haut sommet de l’Abitibi, le mont Dominant ? Il fait peut-être un peu plus frais à ce temps-ci de l’année pour le camping, mais, qu’à cela ne tienne, ça fait partie du défi ! Nous vous recommandons donc d’apporter un bon [sac de couchage trois saisons](/fr/produits/%C3%A9quipement/%C3%A9quipement-de-camping-et-de-randonn%C3%A9e/sacs-de-couchage%2C-matelas-de-sol%2C-couvertures-et-oreillers/sacs-de-couchage/c/1410?f=CFseasons%3A3+saisons++%28de+-15+%C2%B0C+%C3%A0+-1+%C2%B0C%29). Notons aussi un avantage majeur : pas mal moins de mouches.



Le cardiovélo en salle peut attendre encore un peu… Enfourchez donc votre bécane et partez à la découverte des [sentiers de vélo du parc national de la Jacques-Cartier](https://www.sepaq.com/pq/jac/annexes/sentiers_velo.dot) : plus de 30 km de pistes de niveaux facile à très difficile. Un bon défi pour les jambes… et pour votre petit cœur, qui fera assurément quelques sauts périlleux si vous vous attaquez au sentier de la Rivière-à-l’Épaule, pour initiés seulement. C’est votre cas ? Allez zyeuter les vélos Intense 2018 chez MEC. Sensations fortes assurées !



Le parcours noir Le Cougar d’[Arbraska Duchesnay](https://www.sepaq.com/quoi-faire/arbraska-duchesnay.dot) vous donne accès à la Boucle Extrême, qui représente tout un défi pour les plus audacieux. Et pour cause, on vous demande même de réussir au moins 5 tractions (*pull-ups*) d’affilée à la barre fixe installée au début du parcours, question de tester votre force dans le haut du corps. Dorsaux, pecs, trapèzes, biceps, abdos, *alouette* seront sollicités. Apportez des [gants de vélo](/fr/produits/%C3%A9quipement/%C3%A9quipement-de-v%C3%A9lo/v%C3%AAtements-de-v%C3%A9lo/gants-de-v%C3%A9lo/c/1542?text_redirected=Gants+de+v%C3%A9lo&org_text=gants) pour manier câbles et mousquetons; vos mains vous en remercieront. Vous ne pensez pas pouvoir réussir ces 5 tractions ? Alors, on retourne au gym avec de beaux…





Bonne chance !



*Photo principale :
**Sentier L’Envol (parc national du Mont-Tremblant) | Steve Deschênes | © Sépaq*



L’été fut plutôt relax… trop relax peut-être ? Voici des idées d’activités qui vous prouveront que vous êtes toujours capable de vous dépasser.

5 défis sportifs à relever dans nos parcs nationaux | Blogue MEC

5 défis sportifs à relever dans les destinations de la Sépaq

À l’été 1994, j’ai eu la chance de traverser le Canada en voiture avec ma famille. Cette aventure est restée gravée dans ma mémoire, et j’ai voulu offrir la même chose à ma fille Zoey : une escapade de camping pour aller admirer les paysages grandioses de l’Ouest canadien. De septembre 2016 à juin 2017, ma femme et moi avons donc préparé soigneusement notre voyage.

Grand départ de Montréal le 29 juin 2017. Direction : parc national de Banff. Voici donc le récit et des photos de notre aventure. J’espère que vous aurez autant de plaisir à me lire et à regarder mes photos que nous en avons eu durant notre périple.

#### Parc national Banff (Alberta)
Une fois notre camping établi, le lac Two Jack nous appelait avec son eau intensément turquoise. Coup de cœur instantané : malgré l’eau glacée, nous y avons fait du SUP. Nous avons aussi fait quelques randonnées dans les environs, autour des lacs Johnson et Minnewanka.



Après cette première immersion dans les Rocheuses, un arrêt au lac Louise s’imposait. Pour éviter la foule de touristes, nous avons décidé d’observer le lac d’un point de vue moins facile d’accès : celui du sentier Fairview, relativement court, mais abrupt et qui ne semblait pas vouloir finir ! Ensuite, arrêts aux lacs Peyto et Bow, tout aussi turquoise.



#### Parc national Jasper (Alberta)
Pour vous rendre à Jasper, vous devez prendre la route 93 Nord, aussi appelée Icefield Parkway. Le paysage est grandiose. Nous avons campé trois jours le long de la rivière Athabasca. Après avoir exploré ses rives, nous sommes allés admirer le coucher de soleil au mont Pyramide, à partir de l’île sur le lac éponyme.

Nous sommes ensuite allés voir le lac Cavell, qui offre une vue sur son mont, où le lac et les montagnes sont de toute beauté.

Notre retour au camping par un beau soir nous réservait une surprise : la visite d’une femelle wapiti venue manger autour de notre terrain, au grand plaisir de Zoey qui a pu observer cet animal de très près.



Le lendemain, nous sommes allés voir les chutes Athabasca et Sunwapta. Les chutes, ayant en arrière-plan les montagnes, sont splendides.

Nous avons ensuite pris la direction du lac Maligne reconnu pour sa longueur et sa belle couleur et aussi pour l’île Spirit, une petite île isolée offrant un point de vue incroyable sur les montagnes et le lac. Nous avons dû nous démener contre le vent plutôt fort en canot sur le lac, mais ça nous a fait bien rigoler de forcer autant.****

#### Parc national Yoho (C.-B.)
C’est sous la pluie que la Colombie-Britannique et le parc national Yoho nous ont accueillis. Peu importe : vêtus de nos imperméables, nous sommes allés découvrir la chute Takawka, haute de 254 mètres.



Et le lendemain, nous sommes allés marcher autour du lac Émeraude, d’une beauté à couper le souffle.



#### Vallée de l’Okanagan (C.-B.)
Dans cette magnifique vallée, nous avons pris le temps de recharger nos batteries et fait le plein de soleil, de baignades et de cerises fraîches.



#### Parc national Pacific Rim (C.-B.)
Ce secteur de la côte ouest de l’île de Vancouver, situé à quatre heures de route de Victoria, est reconnu pour son surf, sa vie sauvage et la *vibe* un peu bohème qui fait la réputation de Tofino.



Enfin, je retrouvais ce petit bijou de la côte ouest; j’y suis allé en 2013 et je m’étais promis d’y amener ma femme et ma fille ! Quelle joie de pouvoir partager un coucher de soleil splendide en famille !

#### Parcs provinciaux Alice Lake et Joffre Lakes (C.-B.)


Nous avons quitté la ville pour nous rendre au nord de Vancouver et passer quelques jours dans le parc provincial Alice Lake. Le lendemain, nous avons fait du SUP pour la deuxième fois du voyage. Nous avons eu un coup de cœur pour cette activité nautique.



Cette escapade routière d’est en ouest a sans doute été mon plus beau voyage à ce jour, car il englobait ce que je chéris le plus : le plein air, les montagnes, l’océan, la photographie et ma famille ! Je vous souhaite un jour de réaliser cette escapade d’une vie; les efforts de préparation sont largement récompensés par la beauté sauvage des paysages qui défileront devant vous.



Suivez le photographe Math Sparks dans son aventure routière dans l’Ouest canadien avec sa famille. Ses photos vous inspireront à coup sûr.

Escapade routière en famille | Blogue MEC

Escapade routière en famille

C’est sur l’invitation de MEC que ma gang de filles et moi quittons la métropole par un beau vendredi de juillet pour nous rendre à Béthanie afin d’assister au festival de musique en forêt La Grosse Lanterne. Nous sommes toutes très fébriles à l’idée de quitter la ville pour un week-end de musique et de plein air à l’extérieur de Montréal. La majorité d’entre nous n’étant jamais allée à La Grosse Lanterne, la fin de semaine s’annonce riche en découvertes.



Dès notre arrivée, nous nous installons dans l’espace MEC : l’endroit est joliment décoré de lumières, de chaises Adirondack et d’une dizaine de tentes. Nous nous dépêchons de nous installer et de nous familiariser avec les lieux, car nous ne voulons rien manquer des spectacles qui débutent ce soir, notamment celui de Charlotte Cardin que nous sommes toutes impatientes de voir sur scène pour la première fois. Les installations artistiques sur le sentier qui mène à la rivière sont simplement magnifiques, et c’est une fois la nuit tombée qu’elles prennent toute leur ampleur.



Dès le lendemain matin, la plupart des festivaliers souhaitent reprendre des forces, car la programmation du festival se termine à 3 h du matin. En effet, dès les spectacles terminés sur la scène principale, les gens sont invités à poursuivre la soirée autour de la scène électro, où les DJ alignent leur *set* dès 23 h. C’est d’ailleurs ce que nous faisons nous aussi durant les deux soirées de l’événement en allant nous trémousser au son des Dj Walla P, Radiant Baby, GrandBuda et compagnie.



La première nuit est très froide, alors nous enfilons plusieurs couches avant d’aller dormir. Heureusement, nous sommes assez bien équipées grâce à nos amis de chez MEC.

Pendant la journée de samedi, la plupart des festivaliers se regroupent près de la rivière pour se reposer; MEC y a même installé des dizaines de hamacs pour ceux qui auraient besoin de repos durant le festival.

En après-midi, nous nous décidons à aller voir quelques spectacles : KNLO, les Ragers et Geoffroy. Plus tard, nous sommes invitées, avec quelques autres chanceux, à un concert privé de Beyries en pleine forêt. L’expérience est simplement magique et surréaliste avec le soleil qui tente de se faufiler à travers les arbres et la voix exceptionnelle de Beyries.



Tout de suite après, nous allons manger une bouchée afin d’être bien énergisées pour la dernière grosse soirée du festival. Nous sommes super excitées à l’idée de voir Busty and the Bass en spectacle – un groupe que mes copines et moi avons récemment découvert – et les Dead Obies, qui mettront assurément le *party* dans la place.

Cette soirée se termine au petit matin dans un froid glacial digne du mois d’octobre. Heureusement, nos pas de danse nous auront réchauffées un peu pendant la nuit. Nous repartons le cœur léger le lendemain matin. Le week-end aura été simplement fabuleux du début à la fin, d’autant plus que le beau temps était au rendez-vous. Sans l’ombre d’un doute, ce fut un succès, et nous avons toutes déjà hâte d’y retourner l’été prochain !



Merci à MEC pour cette expérience unique ! Définitivement, ce week-end a été un moment fort de notre été.



Par un beau vendredi de juillet, ma gang de filles et moi quittons la ville pour un week-end de musique et de plein air à La Grosse Lanterne. Voyez mes photos.

Grosse Lanterne x MEC | Blogue MEC

Grosse Lanterne x MEC

*Des conseillers passionnés dans nos magasins, voilà ce qui distingue MEC de la concurrence. Des experts de la course comme Matthew Travaglini, conseiller MEC au magasin de Calgary, ont aidé à mettre en place des programmes, tels que les clubs et les ateliers de course MEC.*

*Son amour pour la course lui a permis d’adopter un style de vie passionnant et inspirant. De plus, il a été sacré champion canadien de course en montagne en 2017. Depuis son couronnement, il a été invité à participer aux championnats du Monde de course en montagne en Italie, et nous voulions lui parler avant son départ en plus de lui souhaiter bonne chance !*

**Qu’est-ce que ça vous fait de participer aux prochains championnats du Monde de course en montagne ?**

Je suis emballé ! Puisqu’il s’agira de ma première compétition internationale, c’est un peu angoissant. Toutefois, grâce à mon entraînement, je me sens prêt à entrer en lice et je suis ravi de me mesurer aux meilleurs coureurs en montagne de la planète.



**Pourquoi avez-vous commencé à courir ?**

J’ai commencé à courir parce que c’était une façon de me mettre en forme pour jouer au soccer. N’ayant pas réussi à me tailler une place dans l’équipe de soccer de mon école secondaire, j’ai rejoint l’équipe d’athlétisme, qui fut un excellent plan B. Avec le recul, je ne crois pas que je comprenais à quel point mon retranchement de l’équipe de soccer allait changer ma vie. J’ai décidé de courir de façon compétitive parce que plus je courais, plus j’aimais ça et plus je voulais m’améliorer.



**Comment avez-vous commencé à courir en montagne ?**

J’ai commencé à courir en montagne l’an dernier lorsque je suis déménagé à Calgary. Mon collègue Josh chez MEC m’a convaincu que ça serait une activité amusante. Lors de ma première course en montagne, j’ai cru que j’allais pratiquement mourir. Évidemment, comme toute personne logique, je suis devenu accro. Depuis, je file plus souvent sur les montagnes parce qu’il n’y a pas d’autre endroit où je peux avoir le sentiment de courir en ascension durant 5 km sans jamais voir le sommet.



**En quoi le fait de travailler chez MEC vous a-t-il inspiré à courir ?**

Être entouré de conseillers et de membres actifs a certainement contribué à me motiver à courir. Qu’il s’agisse de partager des histoires de vélo-boulot ou de comparer des segments sur Strava avec bon nombre de collègues mordus de plein air et qui ont adopté un mode de vie actif est formidable. C’est l’une des choses que je préfère de mon emploi.



**Comment parvenez-vous à tirer le maximum de vos courses ?**

Si je ne suis pas en train de courir dans les montagnes, je cours principalement durant la semaine pour me rendre au travail et en revenir. Je cours tous les jours jusqu’au travail, sauf quand certaines contraintes m’en empêchent (comme une blessure ou lorsque je dois apporter du matériel pour donner une formation). Mon parcours totalise environ 8,5 km jusqu’au magasin et traverse certains très beaux quartiers et parcs surplombant la ville. C’est une superbe façon de démarrer la journée en observant le lever du soleil au-dessus de la ville.

Selon où j’en suis dans mon entraînement, je vais courir quelques kilomètres de plus avant ou après le boulot ou je vais effectuer des [intervalles longs](/en/article/be-a-better-runner-get-the-tempo-run-101) (en anglais) si je suis en retard. Lorsque je suis capable de m’entraîner après le travail, je trouve que c’est mon défi le plus difficile à relever, mais c’est aussi le plus gratifiant.



**À quels événements de course prêtez-vous main-forte au MEC de Calgary ?**

Dans le cadre de mon travail, je participe à deux événements très amusants : le club de course MEC du magasin de Calgary et les ateliers de course. En raison de mon calendrier de course d’été, c’est un peu plus difficile pour moi de participer aux sorties de course du samedi parce que ça coïncide généralement avec l’horaire de mes courses. Toutefois, j’ai été capable de contribuer aux ateliers de course que nous offrons en plus de voir les efforts déployés par les coureurs débutants pour atteindre leurs objectifs.

Les sorties de course gratuites du samedi matin sont très cool. Nous nous rencontrons au magasin avant de filer jusqu’à la rivière et de terminer au café du quartier. Récemment, j’ai également donné certaines présentations durant nos séries de courses où j’ai parlé durant 45 minutes de la préparation avant une course.



**Quel aspect de la course préférez-vous ?**

Je ne sais pas si je peux cibler un aspect préféré. Si je pouvais, je dirais que c’est probablement les personnes que j’ai rencontrées ou les endroits que j’ai visités grâce à la course. J’ai rencontré pratiquement toutes les personnes de mon entourage proche grâce à la course (sauf quelques-unes avec lesquelles je partage une passion pour le plein air).

Par ailleurs, je dois dire que je ne connaissais pas la solitude et la splendeur de la course en montagne. Il y a des moments où votre respiration est tellement lourde et où votre cœur bat tellement fort que vous pouvez à peine entendre ce qui se passe autour de vous. Le son de vos battements de cœur et de votre respiration avec la vue des Rocheuses est une expérience formidable.

*Bon voyage Matthew ! Nous allons vous encourager durant les championnats de Monde de course en montagne. Si vous souhaitez essayer la course en sentier, consultez nos*[*conseils pour débutants*](/fr/article/how-to-start-trail-running-tips-for-road-runners)*.*

*Photo du haut : Josh Denison (*[*@joshsonofdenis*](https://www.instagram.com/joshsonofdenis/)*)*



Voici le champion canadien de course en montagne 2017 qui vient de Calgary.

Conseiller MEC sous les projecteurs : Matthew Travaglini | Blogue MEC

CONSEILLER MEC SOUS LES PROJECTEURS : MATTHEW TRAVAGLINI

Vous voulez en mettre plein la vue à vos abonnés Facebook et Instagram ? MEC a relevé pour vous cinq attraits particuliers dans ces destinations de la Sépaq situées aux quatre coins du Québec pour vous inciter à embellir votre fil d’actualités. Attention : vous ferez des jaloux sur les médias sociaux.

Alors, accrochez votre sourire fendu jusqu’aux oreilles : la chasse aux *selfies* est ouverte !

## [PARC NATIONAL DU MONT-MÉGANTIC ](https://www.sepaq.com/pq/mme/)


Amateurs de photos de nuit, le mont Mégantic est l’endroit idéal pour immortaliser des moments nocturnes féériques en pleine nature. Pourquoi ne pas combiner randonnée de nuit et observation des étoiles dans cette [Réserve internationale de ciel étoilé](http://ricemm.org), un attrait unique au Québec qui fête ses 10 ans cette année ? Notez aussi que le 21 août prochain, on assistera à une éclipse solaire partielle, et [le parc organise plusieurs activités](https://www.sepaq.com/blogue/eclipse-solaire-partielle.dot) autour de l’événement. Renseignez-vous et équipez-vous bien : un [bâton de marche](/fr/product/6018-134/b%C3%A2ton-monopode-pour-appareil-photo) qui fait aussi office de support pour appareil-photo peut s’avérer très pratique pour la photographie de nuit (et vous n’aurez pas à traîner de trépied).

## [PARC NATIONAL DE L’ÎLE-BONAVENTURE-ET-DU-ROCHER-PERCÉ ](https://www.sepaq.com/pq/bon/)


Le rocher Percé demeure toujours un classique pour prendre d’excellentes photos en kayak de mer (n’oubliez pas un [étui étanche](/fr/produits/nautique/sacs-secs-et-stockage-etanche/accessoires-pour-appareils-electroniques-et-cameras/c/1128) pour votre appareil-photo), mais saviez-vous qu’on trouve aussi dans ce parc une impressionnante colonie de fous de Bassan ? Sachez que l’excursion bateau-rando vous donne un accès unique à ces oiseaux majestueux.

## [RÉSERVE FAUNIQUE DE PORT-CARTIER–SEPT-ÎLES ](https://www.sepaq.com/rf/spc/)


Alors là, si vous cherchez des paysages grandioses, vous serez servi dans cette réserve faunique ! Bienvenue au pays de la démesure. Les randonneurs peuvent profiter de trois sentiers totalisant 10 km, dont celui de la Chute-MacDonald qui mène à un belvédère et une passerelle. Profitez-en pour cueillir des bleuets et des framboises en chemin; vous en trouverez à profusion. Pour ceux qui préfèrent le canot, misez sur le lac glaciaire Walker : belles rives sablonneuses et parois monumentales n’attendent que vous et votre Caméra VIRB 360 de Garmin.

## [PARC NATIONAL DES HAUTES-GORGES-DE-LA-RIVIÈRE-MALBAIE](https://www.sepaq.com/pq/hgo/)


Cette destination rando des plus prisées au Québec attire les marcheurs en quête de points de vue grandioses sur la vallée par les sentiers de l’Acropole des Draveurs et Le Riverain, de quoi faire de beaux *selfies* au sommet avec arrière-plan vertigineux ! Le canot et le kayak sont aussi d’excellentes options pour découvrir la rivière Malbaie et vous faire découvrir des coins du parc uniquement accessibles par voies navigables. Le parc propose aussi des excursions en rabaska au crépuscule : une autre occasion de prendre de belles photos de nuit, mais sur l’eau cette fois. N’oubliez pas votre [lampe frontale](/fr/produits/camping-et-de-randonnee/lampes-frontales-et-eclairage/lampes-frontales/c/1306) !

## [PARC NATIONAL DU MONT-TREMBLANT ](https://www.sepaq.com/pq/mot/)


Et pour ceux qui s’émerveillent toujours autant devant les chutes, c’est au parc du Mont-Tremblant que vous devez aller produire des photos et des vidéos qui vous feront accumuler les « J’aime ». Le parc vous propose quatre chutes différentes :
– la **chute du Diable** et les **chutes Croches** (secteur de la Diable) – les deux sont accessibles à pied par les sentiers du même nom, et celui des chutes Croches l’est aussi en vélo;
– la spectaculaire **chute aux Rats** (secteur de la Pimbina) de plus de 17 m de haut – accessible à pied par le sentier éponyme;
– la **chute aux Mûres** (secteur de la Diable) avec sa charmante petite passerelle – accessible à vélo par le sentier du Ruisseau-aux-Mûres.

Peu importe le sentier que vous choisirez, équipez-vous de [chaussures de rando confortables](/fr/id%C3%A9al-pour/camping-et-randonn%C3%A9e/produits/bottes-et-chaussures/chaussures/chaussures-de-courte-randonn%C3%A9e-/c/1492). À vélo, si vous apportez votre téléphone, il est toujours utile de s’équiper d’un [support](/fr/produits/velo/accessoires-de-velo/cyclometres/supports-et-capteurs-pour-cyclometres/supports-pour-cyclometres/c/1119) qui s’installe sur le guidon : vous libérerez ainsi vos poches et vous n’aurez pas à fouiller dans le fond de votre sac chaque fois que vous voulez immortaliser un moment drôle sur les sentiers.

Suivez MEC (**@mec_pleinair**) et la Sépaq (**@reseausepaq**) sur Instagram et identifiez vos photos avec **#onserejointdehors** et **#sépaq** : vous pourriez vous retrouver dans le [palmarès MEC des plus belles photos du mois](/fr/article/onserejointdehors-les-meilleures-photos-de-juin) !

Nous avons hâte de voir vos belles bouilles.



*Photo principale :**Fokus Productions*



Vous voulez faire des jaloux sur les médias sociaux ? Voici 5 endroits particulièrement grandioses pour embellir votre fil d’actualités.

5 destinations photo bucoliques au Québec | Blogue MEC

5 destinations photo bucoliques au Québec

Les Cyclopétards sont un regroupement de femmes qui carburent au bruit des roues sur l’asphalte. Elles organisent des sorties de vélo de route dans diverses régions du Québec. Voici un aperçu de leurs parcours préférés. Suivez la route !



### Amélie Vaillancourt, responsable de région, Québec

**Région de Québec**

**Parcours : [Les Équerres](https://ridewithgps.com/routes/13699015) (difficile)**

La route des Équerres débute à l’ancien zoo de Québec et tire son nom de ses fameux virages à 90 degrés. Elle est ponctuée de belles montées (parfois abruptes) et de descentes, et de paysages variés. Bref, un parcours bien pavé qui est idéal durant l’été, ou bien encore à l’automne pour admirer les couleurs dans les arbres.





### Mireille Cartier, responsable de région, Montréal

**Région de Montréal**

[**Grand Prix Cycliste**](http://Grand%20Prix%20Cycliste)** (intermédiaire)**

Le circuit du Grand Prix cycliste traverse le parc du Mont-Royal, le campus de l’Université de Montréal et le magnifique quartier d’Outremont. Plutôt court, ce trajet présente néanmoins de redoutables dénivelés sur Camillien-Houde et dans la côte de la Polytechnique. Il constitue un excellent entraînement, surtout s’il est répété plus de cinq fois (ou 17 comme les pros…). En prime, le belvédère du Mont-Royal offre une vue spectaculaire de la ville.





### Valérie Desjardins, responsable de région, Estrie

**Région de l’Estrie**

**[3e Rang et mont Shefford](https://ridewithgps.com/routes/13558286) (Intermédiaire/avancé)**

Ce parcours, qui est l’un des plus beaux de l’Estrie débute à Granby. Tranquille et de bonne qualité, la route est prisée pour ses longues montées et descentes au milieu de paysages incroyables. Ce parcours offre également un assez bon défi autant dans une direction que dans l’autre. De plus, il est juste assez long (45 km) pour bien s’amuser. Si vous voulez repousser vos limites, empruntez le chemin Warden et grimpez le mont Shefford pour 34 km supplémentaires. Attention aux brûlures dans les jambes !





### Joëlle Carles, responsable de région, Trois-Rivières

**Région de la Mauricie**

**[Sanctuaire St-Maurice ](https://ridewithgps.com/routes/4841785)(débutant/intermédiaire, selon la force du vent et sa direction)**

Ce parcours débute au Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, longe le fleuve Saint-Laurent jusqu’au village champêtre de Champlain et permet d’admirer rives et paysages. De plus, la route est ponctuée de points de vue variés : villages, maisons de campagne, champs, vallons et faux plats. C’est un trajet intéressant à parcourir un soir de semaine ou le week-end. Prenez toutefois garde au vent, il est parfois plutôt fort, et malheureusement pas toujours dans le dos. Bonne sortie de vélo !



### Isabelle Archambault, responsable de région, Montérégie

**Région de la Montérégie**

**[Brossard-Ste-Martine](https://ridewithgps.com/routes/11788908)**(parcours de niveau intermédiaire pour sa longueur et non pour le dénivelé car il est relativement plat.)

J’adore ce parcours en raison de ses magnifiques paysages de campagne et de sa route de bonne qualité.



### Chantal Dunn, Présidente du réseau Les Cyclopétards

**Région du Centre du Québec**

[**La randonnée de la présidente**](https://ridewithgps.com/users/257841)** (assez facile et roulant)**

Pour clôturer la saison, habituellement le premier week-end d’octobre lorsque les feuilles sont bien colorées, une sortie est organisée dans la région de Bécancour. Les  Cyclopétards de toutes les régions participent à cette randonnée. Celle-ci longe d’abord la rivière Bécancour et se termine aux abords du fleuve Saint-Laurent sous le pont de Trois-Rivières où la vue est magnifique. Quand nous effectuons ce trajet, j’entends des « Wow » et « Ah que c’est beau »… c’est  du bonheur pour mes oreilles et j’ai le sentiment d’une mission accomplie !





Vous cherchez un endroit pour faire du vélo de route? Voici les parcours préférés des Cyclopétards

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