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Peu importe les activités que vous planifiez cet hiver, que ce soit parcourir les sentiers en raquette ou passer l’après-midi à construire des châteaux forts, vous devrez vous tenir au chaud. Bien nous habiller [selon la méthode du multicouche](/fr/explore/clothing-layers) demeure la clé, mais nous sous-estimons souvent le réconfort et la chaleur qu’apportent les boissons chaudes.

Voici sept suggestions de boissons sucrées et savoureuses à déguster dans une [bouteille isolante](/fr/produits/camping-et-randonnee/cuisine-et-hydratation-en-camping/bouteilles-deau/bouteilles-isolantes) lorsqu’il neige à plein ciel ou pendant que vous relaxez sur le bord du feu après une longue journée à dévaler les pentes :

#### BOISSON CHAUDE AUX POMMES
Oubliez le traditionnel thé, café ou chocolat chaud et optez pour cette boisson chaude aux pommes enrichie de vitamine C et légèrement épicée. De plus, elle est toute simple à préparer : versez le contenu d’un sachet dans une bouteille isolante, ajoutez de l’eau chaude, mélangez, puis dégustez. C’est donc une boisson réconfortante, sans caféine.

*Bouteille suggérée : un modèle léger pour mettre dans le sac à dos comme la [bouteille à goulot régulier de 621 ml de Hydro Flask](/fr/product/5050-246/Bouteille-isolante-Microlight-500-ml-UL).*

#### CHOCOLAT CHAUD AU CHILI ET AUX ÉPICES
Il est vrai que le chocolat chaud demeure le classique hivernal, mais vous pouvez en rehausser le goût en ajoutant quelques épices. Faite d’un mélange de poudre de cacao, de cannelle, de gingembre et de chili, cette [boisson chaude](/fr/product/5036-149/chocolat-chaud-biologique-au-chili-et-aux-épices) – accompagnée de biscuits au gingembre – vous remettra rapidement sur le piton.

*Bouteille suggérée : la [bouteille Rambler 18 avec couvercle Chug de Yeti](/en/product/6011-160/rambler-532ml-bottle-with-chug-cap) possède une grande poignée facile à dévisser, même avec des gants.*

#### LE CHILI
Ne limitez pas le contenu de votre bouteille aux élixirs sucrés. Voici une option copieuse, ce [piment végétalien](/fr/product/6012-189/chili-végétarien) comprend des haricots rouges, du riz, diverses herbes et légumes. Vous pouvez la déguster directement dans son sachet ce qui signifie qu’il vous suffit de remplir votre bouteille d’eau bouillante et de la verser dans le sachet. Aucune vaisselle n’est nécessaire, donc du coup, moins d’articles à transporter dans le sac à dos.

*Bouteille suggérée : la [bouteilles isolantes de Hydro Flask](/fr/produits/voyage/accessoires-de-voyage/bouteilles-isolantes?brand=Hydro%20Flask) peut conserver votre eau chaude jusqu’à 12 heures.*

#### SOUPE AUX POMMES DE TERRE ET AU CHEDDAR


Si vous désirez une soupe plus onctueuse que la précédente, essayez cette [soupe crémeuse aux pommes de terre et au cheddar](/fr/product/6029-053/soupe-pommes-de-terre-de-campagne-cheddar-ciboultt) qui peut aussi servir de lunch. En plus des pommes de terre et du fromage, elle contient des poivrons rouges et des oignons verts qui feront le bonheur de vos papilles gustatives et ne manquera pas de vous rassasier et de vous réchauffer. Tout comme la soupe aux lentilles, vous pouvez la manger directement dans son emballage. Contient deux portions.

*Bouteille suggérée : la [bouteille à goulot standard Hydro Flask](/fr/product/5054-399/bouteille-à-goulot-régulier-de-621-ml) peut contenir suffisamment d’eau chaude pour remplir le sachet.*

#### THÉ AU BEURRE
Appelé « *po cha* » au Tibet, ce thé est une boisson traditionnelle faite avec du beurre de yak, du lait, du sel et des feuilles de thé (comme le beurre de yak peut être difficile à trouver, vous pouvez utiliser du beurre de vache). D’abord, faites bouillir de l’eau dans une grande casserole contenant deux sachets de thé jusqu’à ce que l’eau prenne une couleur brun foncé. Ajoutez le lait et laissez bouillir. Enfin, ajoutez un peu de beurre et de sel et mélangez avant de verser le tout dans votre bouteille. Besoin de plus amples renseignements ? Essayez cette [recette](http://cuisine.tibetaine.free.fr/theaubeurre.html).

*Bouteille suggérée : une bouteille à large goulot, comme la [bouteille isotherme Hydro Flask](/fr/product/6012-554/bouteille-à-grand-goulot-flex-sip-de-473-ml), pour faciliter la consommation et le nettoyage.*

#### MATÉ



Boisson caféinée de l’Amérique du Sud, le maté est traditionnellement préparé par l’infusion des feuilles de yerba mate séchées dans l’eau chaude (mais non bouillante) à l’intérieur d’une calebasse creuse. La boisson est ensuite consommée à l’aide d’une *bombilla*, sorte de paille métallique comportant un filtre à son extrémité. Comme tout le monde ne possède pas une calebasse, vous pouvez préparer l’infusion à la maison, puis la verser dans une bouteille isolante en prévision de votre pause d’après-midi sur les pentes, lorsque vos cuisses n’en peuvent plus.

*Bouteille suggérée : le [gobelet Yeti Rambler avec couvercle Magslider](/fr/product/5056-608/bouteille-isotherme-rambler-591-ml-avec-couv.-mag.).*

#### GROG
Grand classique, le [grog](http://www.marmiton.org/recettes/recette_grog-au-rhum_20790.aspx) est composé d’une larme de rhum, de whisky ou de brandy mélangé à de l’eau chaude et du miel. Vous pouvez également y ajouter du citron et du soda au gingembre pour donner plus de saveur. Il s’agit d’une autre option intéressante pour se réchauffer rapidement à la fin d’un après-midi de ski ou encore pour pimenter votre balade hivernale à la pleine lune.

*Bouteille suggérée : la [bouteille à goulot standard Hydro Flask](/fr/product/6012-501/bouteille-à-goulot-régulier-flex-de-710-ml) et une [belle flasque](/fr/product/6005-622/flasque-boulder-296-ml) pour quelques ajouts spéciaux.*

Bref, après avoir bien transpiré sur les sentiers ou simplement pour célébrer l’édification de votre magnifique bonhomme de neige, n’hésitez plus à troquer votre traditionnel chocolat chaud pour l’une de ces savoureuses boissons.



*Crédit photo : SyhinStas / Getty Images, RyersonClark / Getty Images, Aneta_Gu / Shutterstock.com*





Vous cherchez des idées de boissons chaudes ? Troquez le traditionnel café et chocolat chaud pour ces boissons sucrées et savoureuses. Elles sont parfaites pour une journée en ski alpin, en ski de fond ou en raquette ou même pour aller glisser ou passer l’après-midi à construire des châteaux forts

7 façons délicieuses de vous réchauffer à l’extérieur cet hiver

À son arrivée au lac Érié pour y faire du surf avec des amis par une belle journée d’été ensoleillée un peu venteuse, Antonio Lennert a assisté à une scène troublante : plus d’une centaine de poissons morts avaient été rejetés sur les berges. « C’était une scène d’horreur, dit-il. Aucun d’entre nous n’avait jamais vu tant de poissons morts sur la plage. » Dès leur entrée dans l’eau, les surfeurs ont constaté la présence d’algues tout autour d’eux. Mais ayant conduit durant deux heures pour profiter de belles vagues, ils ont tout de même surfé durant quelques heures. « Parfois, des poissons morts montaient à la surface près de nous, explique Antonio. C’était dégueulasse et vraiment effrayant. »

Depuis quelques années, le surfeur et activiste communautaire d’origine brésilienne remarque de plus en plus de changements dans les Grands Lacs, et il espère désespérément contribuer à réparer les dommages. En tant que fondateur et directeur de l’expérience de [Surf the Greats](http://surfthegreats.org/), un organisme communautaire faisant la promotion de la culture du surf dans le Nord, et collaborateur à Génération plein air MEC dans la région de Toronto, il dirige des corvées de nettoyage des berges, donne des ateliers éducatifs et organise des rencontres d’information afin d’insuffler un sentiment d’urgence d’agir à la communauté locale des surfeurs. Pour Antonio, l’organisme Surf the Greats est la manifestation d’une passion pour l’aventure, l’exploration et la puissance de la nature – une passion qui l’habite depuis son enfance vécue en bordure de l’océan au Brésil et qu’il a développée durant les années qu’il a passées en Californie et en Australie avant de déménager à Toronto en 2009.



« Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai vu des gens prendre des risques dont les conséquences auraient pu être mortelles simplement parce qu’ils ne connaissaient pas bien les dangers des courants de retour, se plaint-il. Et l’eau est de plus en plus considérée comme une marchandise au fil des ans. La pratique du surf dans les Grands Lacs nous place dans une position privilégiée pour constater vraiment toute la pollution dans l’eau. Et cette situation doit changer. »

La pollution, les contaminants, les débris de toutes sortes et des fleurs d’eau ne sont que quelques exemples de menaces à la santé des plans d’eau du Canada. La prolifération d’algues bleu vert sont particulièrement inquiétantes. Conséquences de la croissance rapide d’algues en raison de la présence de nutriments comme le phosphore et l’azote, les algues se produisent généralement à la fin de l’été et au début de l’automne et dégagent des toxines lorsque les cellules meurent. Pour les surfeurs, canoteurs et baigneurs qui veulent profiter de l’eau, le contact avec ces algues peut causer divers problèmes de santé assez graves : crampes et spasmes musculaires, nausées et vomissements, difficultés cardiaques et respiratoires, insuffisance hépatique et paralysie.

Antonio a été témoin de plusieurs éclosions. « Parfois, nous sortons de l’eau couverts d’algues ou nous ne sommes pas du tout en mesure de surfer en raison de la trop forte toxicité de l’eau, explique-t-il. Mais un grand nombre de surfeurs vont quand même à l’eau malgré les risques pour leur santé. »



Souhaitant sensibiliser d’autres surfeurs et accroître ses propres connaissances en matière de sécurité, Antonio s’est rendu au Costa Rica pour suivre un cours de sauvetage en eaux libres ainsi que le cours de moniteur de surf et de surf à pagaie donné par l’International Surfing Association. Les événements, rencontres et ateliers sur les prévisions des conditions des vagues donnés par l’organisme Surf the Greats constituent pour lui des occasions de transmettre ses connaissances. Lors d’un événement récemment organisé par Génération plein air MEC et Surf the Greats sur les îles de Toronto intitulé « Castaway », une centaine de personnes se sont rassemblées sur une plage secrète pour y faire du surf à pagaie, se baigner et participer à [une corvée de nettoyage](/fr/article/10-ways-to-protect-your-fave-paddle-surf-or-swim-spot). « Nous avons retiré plus d’une centaine de livres de déchets des berges, en plus de repêcher une dizaine de pneus du lac », raconte Antonio. Sa volonté d’aider les gens à se rapprocher de la nature par la pratique du surf est étroitement liée à son désir de prendre soin des milieux naturels. Il provoque ainsi une nouvelle vague sur laquelle bon nombre de citoyens de la région de Toronto sont prêts à surfer avec enthousiasme.

« L’été prochain, nous voulons étendre notre présence dans le comté de Prince Edward et d’autres régions de l’Ontario, tout en développant notre programmation à Toronto », résume Antonio. Les surfeurs et autres adeptes de Surf the Greats sont invités à surveiller leur boîte de courriel ainsi que les médias sociaux pour obtenir de l’information privilégiée, notamment des renseignements sur des boutiques éphémères, des soirées de musique reggae, des expositions de photos de surf et des cours de yoga.

*Photos par [Lucas Murnaghan](https://www.instagram.com/lucasmurnaghan/).*

*Vous voulez essayer le surf et vous impliquer dans le mouvement? Consultez les pages de **Génération plein air MEC** et de [Surf the Greats](http://surfthegreats.org/) pour connaître les plus récents événements, puis étiquetez du mot-clé [#CapSurLeau](https://www.instagram.com/explore/tags/myhomewaters/) vos photos d’environnements nautiques publiées sur Instagram afin de partager votre amour pour les plans d’eau du Canada.*



Faites connaissance avec l’organisme ontarien Surf the Greats. Ce groupe de surfeurs de la région de Toronto partage leur amour profond pour la pratique de leur sport sur les Grands Lacs – voyez comment vous pouvez prendre part à leurs événements, ateliers, soirées dansantes et plus encore.

Surf the Greats : pour l’amour des vagues | Blogue MEC

Surf the Greats : pour l’amour des vagues

Peu importe si vous êtes en train de planifier un long voyage sur la route, un séjour de camping à l’automne ou une première visite d’une ville, voyager avec ses enfants est une excellente occasion de créer des souvenirs de famille. Toutefois, chaque parent sait que ça risque d’être un peu la folie lorsqu’on voyage avec des petits. Profitez de ces conseils pour satisfaire tout le monde (petits et grands) et faire en sorte que votre voyage se déroule à merveille.

## Choisissez des bagages légers
Lorsque vous voyagez avec des enfants, il est important de choisir des sacs légers et compacts pour ranger leurs vêtements, leurs jouets et leurs collations. Misez sur des modèles compressibles pour limiter l’espace qu’ils occupent lorsque vous ne les utilisez pas. Le [Travel Light](/fr/product/5054-182/sac-de-sport-travel-light) offre beaucoup d’espace et se range dans sa propre poche à glissière.

Même le plus petit des explorateurs veut une certaine indépendance de ses parents. Équipez vos enfants de leur propre [petit sac à dos](/fr/produits/sacs-et-sacs-a-dos/sacs-a-dos-pour-enfants) pour ranger un jouet, une collation et une bouteille d’eau afin qu’ils puissent s’hydrater, être heureux et se sentir comme des grands. Du coup, cela vous fera une chose de moins à trimballer. Consultez notre article [Sacs à dos pour enfants](/fr/explore/packs-for-kids) pour connaître les différentes caractéristiques à considérer.

## apportez des jeux portatifs


Lorsque vous voyagez pendant des heures – qu’il s’agisse d’un long trajet en voiture jusqu’au site de camping ou d’un long vol vers une ville à l’étranger –, divertissez les enfants avec un[ jeu portatif](/fr/produits/enfants/activites/jeux-et-divertissements) qui n’épuisera aucune pile et ne nécessitera pas d’alimentation électrique. Ils seront tellement occupés à avoir du plaisir qu’ils oublieront même poser la sempiternelle question « est-ce qu’on arrive bientôt ? ».

## misez sur le multicouche
Le multicouche est un bon système pour faire face aux aléas de la météo. Si une pluie fine se met de la partie, glissez un manteau en laine polaire sous la coquille imper-respirante de votre enfant afin de le garder au chaud et au sec. Durant les nuits fraîches, le manteau en laine polaire suffira.

N’oubliez pas de penser aussi à vous. En effet, il est important que vous soyez confortable lorsque vous déplacez votre famille du point A au point B. Un manteau imper-respirant est doté de poches profondes permettant aux parents d’accéder rapidement à des articles essentiels comme de l’antimoustique.

## Laissez vos enfants être de petits chefs
Constituer un mini garde-manger en apportant votre nourriture dans divers petits contenants légers durant les randonnées afin que tout le monde puisse créer leur propre combinaison culinaire. Et pourquoi ne pas laisser à vos enfants la responsabilité de préparer un dessert amusant, comme des [s’mores](/fr/article/craft-smores-boost-your-camp-snack-game) ? En se sentant impliqués dans la préparation des repas, ils aimeront encore davantage le camping.

Apportez des [ustensiles et des bols](/fr/produits/camping-et-randonnee/cuisine-et-hydratation-en-camping/vaisselle-de-camp) sans rebords tranchants, assez petits pour être manipulés par les enfants et facilement pliables pour favoriser le rangement. Du coup, toute la famille pourra participer au nettoyage.

## laissez vos enfants explorer


Faire en sorte que vos enfants explorent par eux-mêmes les nouveaux milieux naturels que vous visitez est l’une des meilleures raisons d’amener vos enfants en voyage avec vous. Et qui dit nature, dit boue, saletés, feuilles et flaques d’eau. Optez pour des [bottes imperméables](/fr/produits/enfants/tout-petit-et-enfant-2-a-7-ans/bottes-et-souliers-pour-tout-petits-et-enfants/bottes-pour-tout-petits-et-enfants) faciles à enfiler et à enlever au gré des changements de température. Vous pourrez donc laisser vos petits vadrouiller (raisonnablement) dans la forêt sans vous soucier des pieds mouillés.

## Préparez-vous pour la sieste
Lorsque votre tout-petit commence à se fatiguer durant une randonnée, installez-le dans un [porte-bébé](/fr/produits/sacs-et-sacs-a-dos/porte-bebes) confortable, ce qui vous évitera de le prendre dans vos bras. En plus d’être protégé de la pluie, votre enfant pourra se reposer en prévision de la prochaine activité amusante.

## n’oubliez pas la trousse de premiers soins
En voyageant avec des enfants, des ecchymoses et des éraflures risquent d’apparaître. Gardez la [trousse de premiers soins](/fr/produits/camping-et-randonnee/sante-et-securite/trousses-et-fournitures-de-premiers-soins/trousses-de-premiers-soins) à portée de main si jamais vous devez soigner toute blessure mineure avant de continuer à profiter de vos vacances aussitôt que possible.

Ces simples conseils permettront de garder tout le monde heureux durant vos prochaines vacances en famille. En vous préparant bien, vous passerez un voyage mémorable avec vos enfants, ce qui vous incitera à planifier vos prochaines vacances dès votre retour à la maison.



Comme tous les parents le savent, c’est un peu la folie lorsqu’on voyage avec des enfants. Profitez de ces conseils pour satisfaire tout le monde (y compris les adultes) et faire en sorte que votre voyage se déroule à merveille.

Conseils essentiels pour voyager avec des enfants

MEC s’est entretenue avec Brittany Phelan, athlète de ski cross et ancienne skieuse alpine, mais aussi véritable passionnée de plein air. Comme bien des gens, la jeune fille carbure à la vitesse et aux défis et ne cache pas son côté compétitif. Des qualités essentielles dans le domaine qu’elle a choisi ! Mais quand le week-end ou les vacances arrivent, la skieuse fait place à l’amoureuse de plein air qui ne souhaite que vivre de beaux moments en grande nature avec ses amis et son amoureux, très loin du stress de la performance.

MEC l’a rejointe au téléphone, en Suisse, où elle prenait part à un entraînement. Voici un compte rendu de notre discussion avec elle.



Née à Mont-Tremblant, Brittany commence à dévaler les pentes dès l’âge de deux ans. À 15 ans, elle apprend, assise à bord d’un télésiège sur l’un des versants de Tremblant, qu’elle est acceptée dans l’équipe du Québec en ski alpin. Ces moments marquants dans la vie de la skieuse de 25 ans ne sont là qu’une infime partie des innombrables souvenirs agréables qu’elle associe à Tremblant.

Grande admiratrice d’Hermann Maier, de Mélanie Turgeon et d’Éric Guay, la skieuse ne tarde pas à se faire remarquer à l’international. Parmi ses victoires les plus notoires, mentionnons la 5e place en slalom aux Championnats du monde juniors de 2011 et la 10e place en slalom à la Coupe du monde à Zagreb, en Croatie, en janvier 2013.

Pas de doute : le ski, elle a ça dans le sang !

**LE SKI CROSS**



En 2015, Brittany prend l’importante décision de se consacrer désormais au [ski cross](https://alpinecanada.org/equipe/ski-cross). Discipline assez récente, le ski cross est l’équivalent hivernal des courses de BMX ou de moto-cross. Pour Brittany, le plus difficile dans sa transition a été de s’habituer à skier avec d’autres concurrentes. Par contre, l’expérience qu’elle a acquise en slalom pour négocier les courbes est un net avantage sur les autres.

Pour exceller en ski cross, il faut aimer les sensations fortes, être à l’aise dans les airs (parce qu’il ne manque pas de sauts sur les parcours), être rapide, savoir s’adapter aux différentes conditions météo et aux manœuvres des autres concurrents et, bien entendu, avoir un bon esprit compétitif.

En compétition, durant les secondes qui précèdent une descente, la skieuse visualise très attentivement le parcours qu’elle empruntera une toute dernière fois. À cette étape cruciale, deux mots résonnent dans sa tête : *GO* et *FAST* !

**LA VIE DEHORS**

« *It’s the way to live* » (c’est LE mode de vie), comme le dit si bien la jeune athlète. On ne s’étonnera donc pas d’apprendre que Brittany est une véritable *junkie* de plein air. Quand elle n’est pas sur les pentes, tout plein d’autres activités trouvent sa faveur : kayak, rando, escalade, planche à roulettes, ski de randonnée… Mais surtout, la mordue de plein air raffole du vélo de montagne. C’est d’ailleurs le sport qu’elle pratiquerait professionnellement si elle n’était pas skieuse. L’été, rien de tel qu’un week-end en gang à dévaler des sentiers sinueux dans la forêt. Et l’hiver, le ski de randonnée – surtout dans la poudreuse – fait d’elle la plus heureuse des skieuses. Les soirées passées autour d’un feu camp ou d’un feu de cheminée avec ses amis et son amoureux après ces belles journées passer à se dépenser en plein air valent bien toute la gloire qu’elle remporte.



Brittany est consciente que l’omniprésence des technologies de nos jours peut parfois détourner du plein air les jeunes de son âge qui, autrement, seraient sans doute plus souvent dehors. C’est donc en prêchant par l’exemple qu’elle inspire les autres. Quand on goûte au plaisir d’être actif dehors, on prend conscience de ce qui est important, comme si un recentrage de ses valeurs s’opérait tout naturellement, sans compter le sentiment de bien-être général qui s’installe. Et tout dépendant du sport que l’on pratique, le plein air peut-être une bonne source de montées d’adrénaline. Et ça, celle qui ne se passerait jamais de ses chauffe-mains sur les pentes connaît bien et y goûte pleinement en ski cross !



Apprendre de nouvelles choses, sortir de sa zone de confort, affronter ses peurs, c’est tout ça que le plein air – le ski cross et le vélo de montagne en particulier – fait vivre à Brittany, la petite fille de Mont-Tremblant qui a su s’illustrer à l’international, membre assidue de MEC depuis 2010, mais avant tout mordue de plein air comme vous et moi.



MEC s’est entretenue avec cette skieuse de Mont-Tremblant qui a su s’illustrer à l’international, mais qui est avant tout une amoureuse du plein air, comme vous !

Brittany Phelan, accro de plein air et skieuse professionnelle

Portrait de Brittany Phelan, skieuse professionnelle et accro de plein air

En tant que coureur qui habite Vancouver, je cours souvent sous la pluie. Très souvent. J’ai déjà couru sous une pluie froide qui bombardait mon visage de petits poignards mouillés, dans des murs de brouillard qui m’ont complètement détrempé et sous de la pluie qui s’abattait sur moi des deux côtés pour me mouiller on ne peut plus efficacement.

Bien entendu, la pluie, ça mouille. Mais il ne faut pas s’arrêter à ça. Je me souviens d’une fois où une petite bruine s’est transformée en pluie torrentielle, ce qui m’a obligé à trouver refuge sous un pont en attendant que ça passe. Alors que j’étais en train d’essorer mon maillot, deux autres coureurs sont également venus s’abriter sous le pont. Nous étions tous les trois là, debout, souriant face à la situation, la vapeur s’échappant de nos corps. Une fois le déluge passé, tout le monde est reparti sur son chemin.

Ce petit moment silencieux de camaraderie entre coureurs est resté avec moi durant des années, comme quoi on devient « l’ami de tout le monde » lorsque l’on court sous la pluie. Voici quelques autres raisons d’enfiler vos chaussures de course et de filer dehors, même lorsque le temps n’est pas au beau fixe.

### vous allez vous sentir génial


« Courir sous la pluie, c’est avoir la sensation d’être à la fois un *badass* et Forrest Gump, selon Jim Willet, ambassadeur MEC. Le pire est sans doute de sortir lorsqu’il pleut déjà. La plupart des gens ne le feront pas. Cependant, si vous êtes en train de courir et qu’il commence à pleuvoir, vous allez adorer ça. » Un conseil : ne freinez pas votre élan. Il suffit de lacer vos chaussures et de vous diriger vers la porte sans vous arrêter. Sans même vous en apercevoir, vous aurez déjà couru 10 minutes.

### tout sent tellement frais
Tout sent plus frais sous la pluie, spécialement si vous courez sur des sentiers. L’odeur caractéristique des arbres, des roches et de la terre semble s’intensifier merveilleusement dans la nature.

### vous êtes le roi ou la reine du parcours


À l’exception des touristes déterminés et des promeneurs de chiens, la plupart des gens restent à l’intérieur lorsqu’il pleut. Vous pourrez donc courir presque seul sur les parcours généralement achalandés. En prime, vous ne dérangerez personne si vous aimez chanter en courant (un[ boîtier étanche](/fr/produits/nautique/sacs-secs-et-stockage-etanche/etuis-pour-appareils-electroniques/boitiers-de-telephones) est crucial si vous voulez écouter votre musique).

### pas de surchauffe
Mieux vaut courir n’importe quand sous une pluie fine que de courir lorsqu’il fait 25 °C (spécialement si vous n’aimez pas courir durant les canicules estivales). « Durant une journée chaude, la pluie devient votre meilleur allié. En plus de vous rafraîchir, elle permet de diminuer votre température corporelle », explique Jim.

### pas d’accumulation de sel
De petites gouttes de sueur salées coulent-elles sur vos yeux et votre visage durant vos longues sorties de course estivales ? Vous n’aurez pas ce problème en courant sous la pluie.

### il pleut… et alors ?
Il pourrait pleuvoir durant une journée de compétition. En effet, même si vous pouvez contrôler certains facteurs – comme le choix de vos chaussettes ou votre apport en bananes –, vous n’avez aucun contrôle sur la météo. Autant vous habituer à courir sous la pluie durant vos entraînements si jamais Dame Nature décide de faire des siennes lors de votre prochaine course.

### #ARCs-EN-CIEL
Avis aux personnes qui gèrent un compte Instagram ou qui tiennent un blogue de course : les arcs-en-ciel enflamment les médias sociaux. Faites rayonner vos « J’aime ».

### flaques d’eau


Si vous courez sur la route, vos chaussures vont se faire *laver* par la pluie et les flaques d’eau. Par contre, si vous courez sur des sentiers, vos chaussures vont se faire *salir* par la boue et les flaques d’eau. On vous conseille donc d’enfiler des [chaussettes de course](/fr/produits/course-et-entrainement/chaussures-de-course-et-dentrainement/chaussettes-de-course) très foncées.

### et la meilleure raison
Après une sortie de course sous la pluie, rien ne vaut la sensation d’enlever ses vêtements détrempés avant de sauter sous la douche. Puis, décuplez ce plaisir avec un bon café, vos [chaussettes en laine polaire](/fr/product/5006-505/chaussettes-en-polaire) les plus confortables et ce sentiment de satisfaction d’avoir terminé une autre course. Beau travail !



## Articles connexes
- [Choisir des chaussures de course](/fr/explore/how-to-choose-running-shoes)
- [Course sur sentier : guide du débutant](/fr/explore/trail-running-beginners-guide)
- [Comment choisir un manteau imperméable](/fr/explore/how-to-choose-a-rain-jacket)



Courir sous la pluie peut être génial. Voici 9 raisons de se lever du divan et pour d’aller courir quand il pleut.

Voici pourquoi vous devriez-vous courir sous la pluie.

Pourquoi se lever du divan pour aller courir sous la pluie

Burlington, Hamilton et les environs regorgent de parcs luxuriants, de sentiers pittoresques et d’un nombre impressionnant de chutes. Vous pourrez voir des paysages magnifiques, peu importe le trajet que vous choisissez. Trouvez votre complice de course et partez explorer une nouvelle région en vous inspirant de ces six parcours de course.

#### Montée au parc Kerncliff (3 km)


Le parc Kerncliff offre une variété de larges sentiers, de côtes éprouvantes et de sections rocailleuses pour les coureurs qui souhaitent améliorer leur technique. De plus, ce sentier de [3 km](http://milermeter.com/?r=6948457) vous mènera au sommet des collines où vous aurez une vue imprenable sur les villes de Burlington et d’Hamilton et même de Toronto par temps clair.

#### Le défi des escaliers (6 km)


Les escaliers qui mènent à l’escarpement Niagara, le long de la ville, sont très populaires auprès des résidents, mais aussi auprès de nombreux athlètes de la région du Grand Toronto. Pour un entraînement complet, essayez le circuit [des escaliers de 6 km](http://milermeter.com/?r=6951977). Partant du terrain de golf Chedoke, vous devrez monter et descendre les 289 marches de l’escalier Chedoke, puis courir jusqu’à l’escalier Dundurn où vous devrez monter et descendre les 326 marches. Buvez et répétez !

#### La vallée Hendrie (7 km)


Ce parcours modéré de [7 km](http://milermeter.com/?r=6951984) sur un sentier polyvalent est idéal pour les débutants puisqu’il présente une surface lisse sur un terrain relativement plat. La vallée constitue également l’endroit parfait pour vos entraînements [en vitesse](/fr/article/be-a-better-runner-how-to-get-fast-with-speed-work). Et pour agrémenter le tout, vous pourrez y observer des oiseaux, des chevreuils et autres animaux de la faune locale. (Assurez-vous de rester sur le sentier puisque les Jardins botaniques royaux ne tolèrent aucun coureur sur leur propriété.)

#### Aller-retour de MEC au parc Newport (12 km)


Le départ se fait du magasin [MEC Burlington](/en/stores/burlington). Dirigez vous vers le parc Roly Bird avant d’emprunter le sentier Hydrocut qui vous mènera au parc Newport, puis faites le trajet en sens inverse. Ce [sentier de 12 km](http://milermeter.com/?r=6948475) est l’un des favoris pour les sorties de course du magasin de Burlington en raison de la largeur du sentier et des quelques collines, le tout loin de la circulation de la ville.

#### Du point A au point B – ruisseaux et montées (15 km)


Vous avez besoin d’un partenaire de course et de deux voitures. Laissez la première voiture au parc Highland Gardens, point de départ de ce parcours de [15 km](http://milermeter.com/?r=6952021), et l’autre au coin de l’allée Valleyside et du boulevard Davidson, à Hamilton. Donc, à partir du point de départ, suivez le sentier Bruce. Vous passerez devant certains des fameux escaliers d’Hamilton avant de traverser des aires protégées comme la zone de conservation Iroquoia Heights, la zone des chutes Tiffany et celle des chutes Canterbury.

#### Le sentier Bruce – forêt ancienne et cascades (20 km)


Le sentier Bruce est tout désigné pour une longue course de [20 km](http://milermeter.com/?r=6952014). Vous trouverez du stationnement gratuit à de nombreux endroits, comme au parc Hidden Valley, au parc Kerncliff et sur certaines rues dans les alentours. Faites équipe avec un ami coureur et assurez-vous d’apporter une [montre GPS](/fr/produits/electronique/montres/montres-gps) ou de télécharger l’application [Bruce Trail ](http://brucetrail.org/pages/trail/app) sur votre téléphone. Cette application fournit l’information la plus à jour sur le sentier en plus d’indiquer les sentiers secondaires et les accès aux stationnements.



La région de Burlington offre une variété de sentiers qui mènent à des chutes, à des collines et à des escaliers et qui vous font traverser différents terrains. Pourquoi courir sur les trottoirs lorsqu’on peut profiter en même temps de la beauté des paysages naturels qui entourent la ville ? Bonne course

*Crédit photo : Jacob Lund / Shutterstock.com, peters011235 / Shutterstock.com*



Découvrez certains des plus beaux endroits pour courir dans la région de Burlington et d'Hamilton, en Ontario. Voici six parcours qui vous mèneront au parc Roly Bird, sur le sentier Bruce, au circuit des escaliers de Burlington et plus encore.

Superbes parcours de course dans la région de Burlington

D’accord, vous savez que le ski alpin est génial. Vous avez toutefois du mal à trouver des amis pour aller skier avec vous parce que  ***< insérez votre excuse ici >***. Ce billet présente des arguments pour convaincre tous vos amis qui sont indécis à l’idée de se joindre à vous.

Et si vous êtes la personne qui hésite à aller skier, lisez la suite pour savoir pourquoi vous allez changer d’idée.

#### 1re EXCUSE : « Ça coûte trop cher »
Il est vrai que le ski alpin et la planche à neige font partie des activités de plein air qui coûtent les plus chères. En effet, il faut acheter l’équipement, le billet de remontée et les repas aux prix prohibitifs de la cafétéria. Il existe cependant des façons de skier sans vous ruiner.

**Arguments**
Les centres de ski proposent parfois des forfaits incluant l’équipement et le billet de remontée. Si vous voulez acheter de l’équipement de ski, misez sur du matériel d’occasion. Visitez les sites de marchés en ligne ou renseignez-vous sur les programmes d’échanges et les bazars de votre région qui permettent de trouver des skis ou des planches à neige en très bon état. Par ailleurs, les personnes qui détiennent la carte CAA-Québec profitent de rabais dans divers centres de ski du Québec : billets de remontées et parfois même sur les cours. Inscrivez-vous aux infolettres des centres de ski et suivez leur page Facebook ou leur compte Twitter, car ils y annoncent des rabais à l’occasion.

En ce qui concerne les repas, apportez des sandwichs, des sachets de thé, des sachets de boisson à la pomme légèrement épicée ou du [chocolat chaud](/fr/produits/camping-et-randonnee/cuisine-et-hydratation-en-camping/nourriture-et-boissons/boissons) (prenez de l’eau chaude à la cafétéria) pour éviter d’attendre en file pour acheter un hamburger à  13 $.



#### 2e EXCUSE : « je n’ai AUCUN moyen DE TRANSPORT pour me rendre au centre de ski »
Le Canada a la chance de compter sur certains des meilleurs centres de ski de la planète, mais ils ne sont malheureusement pas tous facilement accessibles par les transports en commun. Il existe toutefois d’autres options.

**Arguments**
Le premier et le plus évident ? Le service de navette. Offert par la plupart des centres de ski, ce service est généralement l’option la plus économique. Voici quelques-uns des services offerts au Québec :

- [Mont Tremblant](https://www.tremblant.ca/fr/planifiez/transport)
- Mont-Sainte-Anne et Le Massif sont desservis par [Ski Bus](http://www.quebecregion.com/fr/quoi-faire/activites-attractions/neige/navette-ski/)
- [Blue Mountain](http://auctours.ca/shuttle.html), ON
- [Lake Louise/Sunshine Village/Norquay](https://www.skibig3.com/ski-shuttle/), AB (achetez un billet de remontée tri-zone et la navette sera gratuite!)
- [Whistler](https://epicrides.ca/), BC
- [Revelstoke](https://www.revelstokemountainresort.com/discover/getting-here/resort-shuttle/), BC
- [Big White](https://www.bigwhite.com/plan-your-trip/get-big-white/airport-shuttles-transportation), BC

Si vous ou votre ami êtes titulaire d’un permis de conduire, mais que vous ne possédez pas de véhicule, la location d’une voiture s’avère une excellente solution, spécialement si vous êtes en mesure de rallier plus d’amis pour partager les frais. Outre les entreprises de location de véhicules, il existe également des services de covoiturage. En voici quelques-uns :

- [Zipcar](https://www.zipcar.com/en-ca) (grande liste de véhicules en Colombie-Britannique et en Ontario, idéal pour une utilisation toute la journée)
- [Communauto](https://communauto.com/) (excellent choix pour les déplacements du point A au point B, vous payez à la minute, à l’heure ou à la journée)
- [Evo](https://evo.ca/) (covoiturage de Vancouver qui propose des véhicules hybrides avec porte-skis)
- [Enterprise CarShare](https://www.enterprisecarshare.ca/ca/en/home.html) (une douzaine de modèles, offre des options en Ontario et en Saskatchewan)
- [Modo](https://modo.coop/) (c'est une coopérative!)

Conseil : Ouvrez-vous un compte dès maintenant (les demandes sont généralement traitées en quelques jours) afin d’être fin prêt à prendre la route lorsque les centres de ski vont recevoir leur première bordée de neige.



#### 3e EXCUSE : « je ne sais pas skier »
Vous n’avez jamais skié ? Voici l’occasion de découvrir à quel point le ski alpin est génial.

**Arguments****
**La meilleure approche pour les débutants est de s’inscrire à un cours. Les notions de base seront enseignées par une personne habituée à former les débutants. De plus, la dynamique d’apprentissage est souvent bien meilleure lorsque l’instructeur est une personne neutre. Souvenez-vous lorsqu’un de vos parents a essayé de vous montrer comment conduire ? La plupart des centres de ski proposent des forfaits incluant l’équipement de ski et le billet de remontée.

Si vous encouragez un ami à skier, prenez du temps après son cours pour lui faire pratiquer des virages faciles. À mesure qu’il progresse, vous pourrez continuer à l’aider à perfectionner sa technique.

Il est important de ne pas adopter la devise « Tout seul dans la poudreuse ». La sécurité en montagne est extrêmement importante et skier avec un partenaire est évidemment plus sécuritaire (et plus amusant).

#### 4e EXCUSE : « IL FAIT TROP FROID »
Puisque la montagne est couverte de neige, il va visiblement faire froid. Toutefois, il existe des façons de rester au chaud, même si les flocons se mettent à tomber.

**Arguments**
Évaluez votre système multicouche. [Portez-vous les bons vêtements pour skier](/fr/explore/clothing-layers)? Dans la négative, réglez ce problème en empruntant des vêtements à un ami ou achetez des vêtements usagés (voir les réponses à la 1re excuse).  Des [chauffe-mains et chauffe-pieds](/fr/produits/camping-et-randonnee/sante-et-securite/materiel-durgence-et-de-survie/chauffe-mains-et-chauffe-pieds) peuvent facilement devenir vos meilleurs alliés. Si vous êtes vraiment frileux, il existe aussi des [chaussettes chauffantes](/fr/produits/bottes-et-chaussures/chaussettes/chaussettes-chauffantes) et des [mitaines chauffantes](/fr/produits/equipement-de-ski-et-de-planche/vetements-de-ski/gants-et-mitaines-de-ski-alpin/gants-et-mitaines-chauffants).





#### 5e Excuse : « j’ai essayé de skier, MAIS je n’aime tout simplement pas ça »
Plutôt que de se forcer à faire quelque chose que l’on n’aime pas, parfois il vaut mieux s’adapter à la situation pour réussir à la surmonter.

**Arguments**
La plupart des centres de ski proposent aussi d’autres activités qui constituent d’excellentes façons pour vous et vos amis non-skieurs de participer à un week-end de ski sans avoir à monter dans un télésiège. Les skieurs du groupe peuvent ainsi aller attaquer les pentes, alors que les non-skieurs peuvent aller faire de la raquette, du ski de fond ou de la glissade sur chambre à air.

À la fin de la journée, tout le monde aura les cheveux aplatis, les joues rouges et des histoires à raconter. Après tout, n’est-ce pas tout ce qui compte vraiment au final ?

t.



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Vous et vos amis hésitez à l’idée d’aller skier ? Pas pour longtemps. Lisez la suite pour savoir pourquoi vous allez changer d’idée.

Aucune excuse n’est valable pour éviter d’aller skier

Arguments contre chaque excuse pour éviter d’aller skier

Peu importe que vous vous lanciez sur le chemin de l’Inca ou que vous pédaliez à travers Paris pour trouver le meilleur croissant, ces conseils éclairés d’employés et d’ambassadeurs MEC vous aideront à profiter au maximum de vos virées hors pays.

**1. Voyagez léger.** Préparez tout ce dont vous aurez besoin (oubliez les vêtements que « peut-être »), puis couper de moitié. Vous serez surpris de constater à quel point il est libérateur de partir moins chargé. Conseil en prime : [chemises infroissables à séchage rapide](/fr/produits/vetements/chemises-et-hauts/hauts-a-manches-longues) sont une bénédiction lorsque la chaleur est écrasante. Vous pouvez les porter humides sans que cela paraisse. De son côté, la laine mérinos, naturellement antimicrobienne, est parfaite pour les longs trajets.

**2. Dites adieu à votre zone de confort.** Faites preuve de curiosité et oubliez vos notions traditionnelles en matière de temps et d’horaire. En fait, laissez donc votre montre à la maison.

**3. Dites oui.**« Oui » est la porte d’entrée vers l’extraordinaire : partager un repas avec des habitants de la région, prendre un bain de minuit dans un lac au clair de lune ou faire de la course en sentier dans une forêt tropicale.

**4. N’apportez pas de t-shirts.** Achetez-les plutôt une fois à destination. Lorsque vous reviendrez à la maison, ça vous fera des souvenirs que vous pourrez porter.

**5. Protégez vos arrières (et votre sac à dos).** Si vous enregistrez votre sac à dos, procurez-vous un couvre-sac pour protéger les sangles et les boucles contre les bagagistes trop zélés de l’aéroport. Certains sacs sont même dotés de sangles ou de bretelles amovibles.

**6. Trois mots : bouchons d’oreilles.** Rien à ajouter.

**7. Profitez des pauses.** Le mauvais temps et les journées à l’intérieur font partie du voyage. Gardez votre bonne humeur avec de la musique, un livre (ou une liseuse), l’Internet ou un [carnet de dessins](/fr/produits/camping-et-randonnee/outils-et-accessoires/carnets-de-voyage-et-stylos).

**8. Tenez un journal.** Écrivez tout – du délicieux sandwich que vous avez mangé en randonnée à votre nouvelle amitié avec un chat de ruelle – prenez des photos ou des vidéos et collectionnez vos billets de transport ou des brochures. Vous ne voulez pas transporter tous ces papiers avec vous ? Postez-les à votre domicile au fur et à mesure.

**9. Soyez reconnaissant.** Être impoli envers un agent de service à la clientèle ne vous amènera pas à votre destination plus rapidement. Si votre plan de voyage ne se déroule pas comme prévu, prenez une grande respiration et rappelez-vous à quel point vous avez de la chance de pouvoir voyager.

**10. Les petits détails comptent.** Utilisez le site SeatGuru.com pour trouver un siège d’avion confortable, apportez un [oreiller compressible](/fr/produits/camping-et-randonnee/sacs-de-couchage-matelas-de-sol-et-couvertures/oreillers-et-taies-doreiller) et portez des chaussures décontractées. Apportez également une [bouteille compressible](/fr/produits/camping-et-randonnee/cuisine-et-hydratation-en-camping/bouteilles-deau/gourdes-et-bouteilles/bouteilles-compressibles) pour vous hydrater dans la file d’attente avant de passer devant les agents de sécurité.

**11. Improvisez.** N’ayez pas peur d’attendre d’arriver à destination avant de réserver des tours guidés ou des excursions. Vous trouverez sans doute de meilleures aubaines et vous profiterez des commentaires des voyageurs.

**12. Exprimez-vous.** Apprenez à dire « bonjour », « merci », et « café, s’il vous plaît » dans la langue du pays. Et quand tout votre vocabulaire est épuisé, il vous reste le langage des signes qui demeure international.

**13. Partez en bonne santé.** Avant de partir, assurez-vous que vos dents sont en bonne santé et que vous avez reçu les prescriptions et vaccinations requises. Prévoyez également du temps entre vos rendez-vous et votre départ au cas où votre médecin demande à faire un suivi. Et prenez toujours une assurance voyage.

**14. Osez voyager seul.** Vous serez surpris de votre gros bon sens lorsque vous ne pouvez compter que sur vous-même. En étant seul, il est aussi plus facile de faire des rencontres avec les gens de la région et les autres voyageurs.

**15. Pensez au-delà du coffre-fort de l’hôtel.** Numérisez vos documents importants et vos pièces d’identité, puis envoyez-les par courriel, soit à vous-même, à un ami ou à un membre de votre famille pour avoir un plan B en cas de perte.

**16. Voyager n’est pas une compétition.** Le but de partir n’est pas de devenir la nouvelle vedette d’Instagram. Voyagez pour vous-même. Voyez les choses pour lesquelles vous êtes venu, soyez ouvert et ne prenez pas nécessairement de photo. Personne n’a besoin d’une image pour prouver que vous êtes *#*chanceux.



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